Sur l’écume d’une eau sale,
Danse cet ange au teint pale,
Et le chant des mouettes, hymne du mal,
Epouse l’encens de ce corps qui râle.
***
Cette femme, si morne, si belle,
Soumise à la fatale inquiétude,
Errait dans la mer rebelle,
Du ciel, reflet de son ingratitude,
Se déversent la rosée sanguine qui scelle,
Son Âme dolente de solitude.
***
Dans le désarroi d’un tel Univers,
Elle cède sa conscience au néant et rêve,
De disparaitre à jamais de ce monde pervers.
Vers l’horizon, le rouge de ses veines crève,
Purifiant l’Etre et la mer,
Des péchés d’un esprit qui souffrait sur Terre.
Danse cet ange au teint pale,
Et le chant des mouettes, hymne du mal,
Epouse l’encens de ce corps qui râle.
***
Cette femme, si morne, si belle,
Soumise à la fatale inquiétude,
Errait dans la mer rebelle,
Du ciel, reflet de son ingratitude,
Se déversent la rosée sanguine qui scelle,
Son Âme dolente de solitude.
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Dans le désarroi d’un tel Univers,
Elle cède sa conscience au néant et rêve,
De disparaitre à jamais de ce monde pervers.
Vers l’horizon, le rouge de ses veines crève,
Purifiant l’Etre et la mer,
Des péchés d’un esprit qui souffrait sur Terre.